mercredi 5 novembre 2008

Eclairs et tonnerre (suite) + Hala’hot relatives à la Bera’ha de l’arc en ciel

Eclairs et tonnerre (suite) + Hala’hot relatives à la Bera’ha de l’arc en ciel

Toutes les Hala’hot de cette semaine sont dédiées à l’élévation de la Neshama

de mon vénéré père Henri Ishoua PITOUN z’’l dont on célèbre cette semaine (9 ’Heshvan) la 17ème Hazkara.

Cette Hala’ha est dédiée à la Refoua Shelema – la guérison complète de ma chère maman Simi Bat Leah, ainsi que pour la Refoua Shelema du Gaon et Tsaddik Rabbi Morde’haï Tsema’h Ben Mazal Tov (le Rav Morde’haï Eliyahou shalita)

Question

Quel sont les cas pratiques concernant la Bera’ha de l’éclair et du tonnerre ?

Est-il vrai que l’on doit réciter une Bera’ha à la vue de l’arc en ciel ?

Décision de la Hala’ha

Nous ne récitons la Bera’ha sur l’éclaire ou sur le tonnerre pas plus d’une seule fois par jour.

Cependant, si après avoir réciter l’une ou l’autre de ces Bera’hot (ou les 2), les nuages ce sont dissipés, une éclaircie est apparue, et que de nouveau, dans la même journée, les nuages ont remplie le ciel et ont provoqué un nouvel orage avec des éclairs et du tonnerre, dans ce cas, on doit de nouveau réciter ces Bera’hot, même si cela se passe dans la même journée.

Si on récite ces Bera’hot en journée, et que la nuit passe, nous devons de nouveau les réciter le lendemain, si nous voyons l’éclair, ou que nous entendons le tonnerre, même s’il n’y a pas eu d’éclaircies entre temps.

Ces 2 Bera’hot ne sont pas forcément liées. Même si l’on n’a pas vu d’éclair, nous récitons quand même la Bera’ha sur le tonnerre.

Si l’éclair et le tonnerre se produisent en même temps, il faut réciter uniquement la Bera’ha de ‘Ossé Ma’assé Bereshit, et non celle de Sheko’ho Ougvourato Malé ‘Olam. Si l’on a fait l’inverse, on est quitte à la condition d’en avoir réciter qu’une seule.

Si l’on a récité la Bera’ha de ‘Ossé Ma’assé Bereshit sur l’éclair en ayant la Kavana (l’intention) d’acquitter également le tonnerre qui va suivre, cette personne est quitte.

Si l’on voit l’éclair, et que l’on commence à réciter la Bera’ha de ‘Ossé Ma’assé Bereshit, mais qu’au milieu de la Bera’ha, le tonnerre retentit, on est quitte et on ne doit pas réciter la Bera’ha de Sheko’ho Ougvourato Malé ‘Olam dans ce cas là.

Si l’on est réveillé en pleine nuit par le tonnerre, nous devons frotter les mains contre un vêtement (le pyjama) ou contre une couverture ou un drap, et ensuite réciter la Bera’ha sur le tonnerre. Il faut réagir très vite pour ne pas que s’écoule le laps de temps de To’h Kedé Dibour (avant 1 seconde ½ depuis la fin de l’éclair ou du tonnerre)

Lorsque l’on voit l’arc en ciel, nous devons réciter la Bera’ha suivante :

Barou’h Ata A-D-O-N-A-Ï Elohenou Mele’h Ha’olam Zo’her HaBerit, Neeman Bivrito VeKayam Bemaamaro.

Traduction : Tu es Bénis Hashem (Tu es la source de la Bénédiction) Notre D. Roi du Monde, qui se souivient de l’Alliance, qui est digne de confiance pour Son alliance, et qui accomplie Sa parole.

Il faut regarder l’arc en ciel seulement un court instant avant de réciter la Bera’ha, et ensuite il ne faut plus le regarder.

Cette Bera’ha – comme toutes les Bera’hot que nous récitons – doit être récitée avec Shem OuMal’hout (avec les mots Ata A-D-O-N-A-Ï Elohenou Mele’h Ha’olam qui sont l’expression du Nom d’Hashem et de Sa Royauté).

On peut réciter la Bera’ha sur l’arc en ciel même si la dernière vision remonte à moins de 30 jours.

Il est permis de dire à son ami que l’arc en ciel est apparut afin qu’il puisse lui aussi réciter la Bera’ha de l’arc en ciel.

La personne qui récite la Bera’ha de l’arc en ciel même lorsqu’on ne le voit que partiellement, a sur qui s’appuyer.

Sources et développement

Dans une précédente Hala’ha (que vous pouvez consulter en cliquant sur ce lien http://halahayomit.blogspot.com/2008/11/la-beraha-sur-les-clairs-et-le-tonnerre.html), nous avons expliqué que lorsque l’on voit l’éclair, ou que l’on entend le tonnerre, on doit réciter les Bera’hot suivantes :

Pour l’éclaire. Barou’h Ata A-D-O-N-A-Ï Elohenou Mele’h Ha’olam ‘Ossé Ma’assé Bereshit.

Traduction : Tu es Bénis Hashem (Tu es la source de la Bénédiction) Notre D. Roi du Monde, qui réalise l’ouvre de la Création initiale

Pour le tonnerre. Barou’h Ata A-D-O-N-A-Ï Elohenou Mele’h Ha’olam Sheko’ho Ougvourato Malé ‘Olam.

Traduction : Tu es Bénis Hashem (Tu es la source de la Bénédiction) Notre D. Roi du Monde, dont la force et la puissance remplissent le monde.

Nous avons précisé que l’on doit impérativement réciter ces Bera’hot dans un laps de temps très court après avoir vu l’éclair, ou après avoir entendu le tonnerre. Ce laps de temps s’appelle « To’h Kedé Dibour », qui correspond au temps qu’il faut pour dire les mots « Shalom ‘Ale’ha Rabbi », ce qui équivaut à environ 1 seconde et ½.

Au-delà de ce laps de temps, nous ne pouvons plus réciter ces Bera’hot, et nous devrons attendre le prochain éclair pour réciter la Bera’ha de l’éclair, et le prochain tonnerre pour réciter la Bera’ha du tonnerre.

Nous ne récitons la Bera’ha sur l’éclaire ou sur le tonnerre pas plus d’une seule fois par jour.

Cependant, si après avoir réciter l’une ou l’autre de ces Bera’hot (ou les 2), les nuages ce sont dissipés, une éclaircie est apparue, et que de nouveau, dans la même journée, les nuages ont remplie le ciel et ont provoqué un nouvel orage avec des éclairs et du tonnerre, dans ce cas, on doit de nouveau réciter ces Bera’hot, même si cela se passe dans la même journée.

Si on récite ces Bera’hot en journée, et que la nuit passe, nous devons de nouveau les réciter le lendemain, si nous voyons l’éclair, ou que nous entendons le tonnerre, même s’il n’y a pas eu d’éclaircies entre temps.

Ces 2 Bera’hot ne sont pas forcément liées. Même si l’on n’a pas vu d’éclair, nous récitons quand même la Bera’ha sur le tonnerre.

Cependant, selon certains Poskim (décisionnaires), lorsque l’on voit l’éclair, il est préférable de ne pas réciter la Bera’ha de l’éclaire, mais plutôt d’attendre que le tonnerre retentisse pour réciter à ce moment là la Bera’ha du tonnerre qui inclura l’éclaire. Généralement, l’éclaire est suivie très rapidement du tonnerre.

Toutefois, il est quand même permis de réciter systématiquement les 2 Bera’hot.

Si l’éclair et le tonnerre se produisent simultanément, combien de Bera’hot doit on réciter ?

Selon le Maguen Avraham[D1] (sur O.H 229 note 1) et le Mishna Beroura[D2] (note 6), si l’éclair et le tonnerre se produisent en même temps, il faut réciter uniquement la Bera’ha de ‘Ossé Ma’assé Bereshit, et non celle de Sheko’ho Ougvourato Malé ‘Olam. Si l’on a fait l’inverse, on est quitte à la condition d’en avoir réciter qu’une seule.

Même si le Gaon Ya’aBeTS[D3] conteste cette opinion dans son livre Mor Ouktsi’a, et tranche qu’il faut réciter les 2 Bera’hot dans tous les cas, et c’est ainsi que tranche également le Eliya Rabba[D4] (note 6).

Malgré tout, d’autres Poskim – comme le Gaon Rabbi Zalman[D5] dans son Seder Birkot Haneenin (chap.13 note 15), ou le Maguen Guiborim[D6] (note 2) - pensent comme le Maguen Avraham, et selon eux, il ne faut réciter - dans ce cas là - qu’une seule Bera’ha.

Puisqu’il y a Ma’hloket (divergence d’opinion Hala’hic), il faut appliquer le principe de Safek Bera’hot Lehakel (Lors d’un doute sur la récitation d’une Bera’ha, nous allons à la souplesse et nous ne la récitons pas), et par conséquent, si l’éclair et le tonnerre se produisent en même temps, il faut réciter uniquement la Bera’ha de ‘Ossé Ma’assé Bereshit, et non celle de Sheko’ho Ougvourato Malé ‘Olam. Si l’on a fait l’inverse, on est quitte à la condition d’en avoir réciter qu’une seule, conformément à l’opinion du Maguen Avraham.

C’est aussi ce qu’écrit le Peri Meguadim[D7] (O.H 229 Eshel Avraham note 1) en rappelant qu’il est toujours préférable de diminuer les Bera’hot.

Une personne a récité la Bera’ha de ‘Ossé Ma’assé Bereshit sur l’éclair en ayant la Kavana (l’intention) d’acquitter également le tonnerre qui va suivre, cette personne est-elle quitte ?

Notre maître le ‘HYDA[D8] – dans son livre Birké Yossef (sur O.H 229 note 4) - rapporte au non de son aïeul Rabbi Avraham AZOULAÏ, l’auteur du ‘Hessed LeAvraham que cette personne est quitte.

Une personne voit l’éclair, commence à réciter la Bera’ha de ‘Ossé Ma’assé Bereshit, et au milieu de la Bera’ha, le tonnerre retentit, doit-elle également réciter la Bera’ha de Sheko’ho Ougvourato Malé ‘Olam ?

Selon le Kitsour Shoul’han ‘Arou’h[D9] (chap.60 note 3), ainsi que selon l’auteur du Shou’t Beer Sarim[D10] (tome 5 chap.45 note 3), cette personne est quitte et ne doit pas réciter la Bera’ha de Sheko’ho Ougvourato Malé ‘Olam dans ce cas là.

On rapporte au nom du Gaon Rabbi Yossef Shalom ELYASHIV Shalita que cette personne n’est pas quitte et doit également réciter la Bera’ha de Sheko’ho Ougvourato Malé ‘Olam.

Si l’on est réveillé en pleine nuit par le tonnerre, et que l’on ne veut pas perdre cette Bera’ha, mais le fait d’aller se laver les mains (Netilat Yadaïm pour pouvoir réciter une Bera’ha), va nous faire perdre le temps qui nous est imparti pour réciter cette Bera’ha, dans ce cas, dés que nous entendons le tonnerre, nous devons frotter les mains contre un vêtement (le pyjama) ou contre une couverture ou un drap, et ensuite réciter la Bera’ha sur le tonnerre. Il faut réagir très vite pour ne pas que s’écoule le laps de temps de To’h Kedé Dibour (voir plus haut).

L’arc en ciel

Il est enseigné dans la Guemara Bera’hot (59a) :

Lorsque l’on voit l’arc en ciel, nous devons réciter la Bera’ha suivante :

Barou’h Ata A-D-O-N-A-Ï Elohenou Mele’h Ha’olam Zo’her HaBerit, Neeman Bivrito VeKayam Bemaamaro.

Traduction : Tu es Bénis Hashem (Tu es la source de la Bénédiction) Notre D. Roi du Monde, qui se souivient de l’Alliance, qui est digne de confiance pour Son alliance, et qui accomplie Sa parole.

Cette Hala’ha st tranchée par le RAMBAM (chap.10 des Hal. Bera’hot, Hal.16), ainsi que par MARAN dans le Shoul’han ‘Arou’h (O.H chap.229 parag.1)

Il faut regarder l’arc en ciel seulement un court instant avant de réciter la Bera’ha, et ensuite il ne faut plus le regarder, car en règle générale, il est interdit de regarder l’arc en ciel, comme nos ‘Ha’hamim nous l’enseignent dans la Guemara ‘Haguiga 16a).

Explication :

Après le Maboul (le déluge), Hashem a établie une alliance avec Noa’h et ses descendants. Selon cette alliance, Hashem s’engage à ne plus détruire le monde, même si les Resha’im (les impies) se multiplient au point de provoquer la colère Divine, comme se fut le cas lors du Maboul. Si Hashem se met en colère sur le monde, il retiendra cette colère en faisant apparaître l’arc en ciel.

Nous exprimons donc dans cette Bera’ha qu’Hashem reste fidèle à sa promesse de ne plus détruire le monde, même si nous avons un comportement qui éveille Sa colère, et nous concluons cette Bera’ha en disant qu’Il « accomplie Sa parole », dans le sens où l’arc en ciel fait partie intégrante de l’œuvre de la Création du Monde, et il existait avant le déluge, malgré cela, Hashem accomplira sa parole de ne plus détruire le monde.

Comme nous l’avons déjà précisé dans une précédente Hala’ha, cette Bera’ha – comme toutes les Bera’hot que nous récitons – doit être récitée avec Shem OuMal’hout (avec les mots Ata A-D-O-N-A-Ï Elohenou Mele’h Ha’olam qui sont l’expression du Nom d’Hashem et de Sa Royauté), car selon la Hala’ha, toute Bera’ha qui ne contient pas Shem OuMal’hout (les mots Ata A-D-O-N-A-Ï Elohenou Mele’h Ha’olam), n’est pas une Bera’ha, comme il est enseigné dans la Guemara Bera’hot (40a), et comme le tranche MARAN dans le Shoul’han ‘Arou’h (Ora’h ‘Haïm chap.218 parag.1).

Doit-on réciter cette Bera’ha uniquement une fois par 30 jours ?

Notre maître le ‘HYDA – dans son livre Ma’hzik Bera’ha (sur O.H 229 note 1) – cite une opinion selon laquelle la Bera’ha à la vision de l’arc en ciel ne doit être récitée que seulement lorsqu’on le voit une fois par 30 jours, comme pour toutes les autres Bera’hot à la vision de certains évènements.

Mais le ‘HYDA réfute cette opinion en expliquant que cette règle selon laquelle il faut un délai de 30 jours entre les 2 visions pour pouvoir réciter de nouveau la Bera’ha, concerne uniquement les choses qui sont présentes en permanence, mais qu’il dépend que de nous même d’aller voir ces choses. Par contre, lorsqu’il s’agit d’un évènement qui apparaît et qui disparaît totalement pour de nouveau réapparaître, cette règle n’existe pas, et l’on peut réciter la Bera’ha même si la dernière vision remonte à moins de 30 jours.

Est-il permis de dire à son ami que l’arc en ciel est apparut ?

Le ‘Hayé Adam[D11] (règle 63 note 4) écrit :

« j’ai trouvé dans un livre dont je ne me souviens plus du nom de l’auteur, qu’il n’était pas recommandé de dire à son ami que l’arc en ciel est apparut, pour ne pas être qualifiable de Mosti Dibba Hou Kessil (colporteur)… » Le Mishna Beroura ainsi que le Kaf Ha’Haïm[D12] (note 1) le rapportent.

Explication

L’arc en ciel vient en signe de la colère Divine, et c’est pour cela que le fait de dire à son ami que l’arc en ciel est apparut, est une façon de dire qu’Hashem est en colère contre le monde.

Mais l’auteur du Berit Kehouna[D13] (section Kof note 3) écrit :

« L’usage est répandu de dire à son ami que l’arc en ciel est apparut afin qu’il puisse réciter la Bera’ha de l’arc en ciel. Ceci par opposition aux propos du Kaf Ha’Haïm au nom du ‘Hayé Adam, car ses propos ne semblent pas corrects. Au contraire, nous exprimons notre reconnaissance envers Hashem pour avoir établi ce pacte d’Alliance selon lequel Il ne détruira pas le monde, et il est préférable d’informer son ami que l’arc en ciel est apparut, afin qu’il prenne conscience – lui aussi – qu’il faut faire Teshouva et améliorer ses actes… » (Notre maître le Rav Ovadia YOSSEF shalita écrit dans son livre - ‘Hazon Ovadia – Tou Bishvat et Bera’hot page 472 - à propos de cette opinion du Berit Kehouna : « Ces propos sont justes. »).

On peut aussi le prouver à partir du Sefer Ha’Hassidim[D14] (chap.807) :

Une personne priait dans la synagogue. Après avoir répondu à la Kedousha, on vint le prévenir que l’arc en ciel était apparut.

Que fit ce ‘Hassid ?

Il sortit précipitamment de la synagogue et récita la Bera’ha à la vision de l’arc en ciel.

On lui fit remarquer qu’il était occupé à accomplir la Mitsva de répondre au Shalia’h Tsibbour, or, celui qui est occupé à faire une Mitsva est exempté de toutes les autres Mitsvot qui se présentent à lui.

Mais le ‘Hassid répondit que c’est différend lorsqu’il s’agit de réciter la Bera’ha de l’arc en ciel, car c’est « une Mitsva qui passe » et que l’on ignore quand elle se représentera de nouveau.

On constate de cette histoire que l’on est « venu lui dire » que l’arc en ciel était apparut et qu’il est donc permis de le dire à son ami.

Est-il permis de réciter la Bera’ha de l’arc en ciel lorsqu’on ne le voit que partiellement ?

Selon le Sefer Ha-Berit[D15] (page 54 colonne 1), cité par le Shou’t Lev ‘Haïm[D16] (tome 2 chap.46), il ne faut réciter la Bera’ha de l’arc en ciel que lorsqu’on le voit en intégralité.

Tel est également l’opinion du Shou’t Divré Shalom[D17] (Mizra’hi) (tome 2 chap.101 note 2).

Mais le Birkat Hashem[D18] (tome 4 page 311), ainsi que le Yalkout Yossef [D19] (tome 3 – Bera’hot - page 625) tranchent qu’il est permis de réciter la Bera’ha de l’arc en ciel même lorsqu’on ne le voit qu’en partie. Notre maître le Rav Ovadia YOSSEF shalita écrit que la personne qui récite la Bera’ha de l’arc en ciel même lorsqu’on ne le voit que partiellement, a sur qui s’appuyer.

Rédigé et adapté par R. David A. PITOUN France 5769 sheelot@free.fr (à partir des écrits du Gaon Rabbi Ya’akov SASSON shalita) Pour recevoir la Halaha Yomit chaque jour, ainsi qu’un Dvar Torah le vendredi, par email, contactez nous sur sheelot@free.fr

[D1]

Maguen Avraham

Rabbi Avraham Gombiner Pologne 17ème siècle

[D2]Mishna Beroura Rabbi Israël Meïr HaCohen de Radin, le « ‘Hafets ’Haïm », Russie 20ème siècle, également auteur de ‘HAFETS ‘HAÏM, et de SHMIRAT HALASHON entre autres.

[D3]Ya’BeTS

(Le Gaon) Allemagne 18ème siècle. Auteur de nombreux ouvrages de Hala’ha. Fils du ‘Ha’ham Tsevi.

[D4]Eliya Rabba Rabbi Eliyahou Shapira Tchécoslovaquie 17ème siècle

[D5]Rabbenou Shneour Zalman Rabbi Shneour Zalman de Lyadie. Grand décisionnaire de la Hala’ha et auteur du Tanya, ainsi que d’un livre intitulé « Shoul’han ‘Arou’h de Rabbi Zalman ». Russie 19ème siècle

[D6]

Maguen Guiborim

Rabbi Morde’haï Zeev SEGUEL – ETTINGUE Russie 19ème siècle

[D7]Peri Mégadim Rabbi Yossef TOMIM Allemagne 18ème siècle

[D8]HYDA

Rabbi Haïm Yossef David AZOULAÏ Israël - Italie 18ème siècle

[D9]Kitsour Shoul’han ‘Arou’h (« L’abrégé du Shoul’han ‘Arou’h ») Rabbi Shelomo GANSFRIED. Europe de l’est 19ème siècle.

[D10]Beer Sarim Rabbi Avraham Yaffé SHCLESINGER Grand décisionnaire de notre temps, installé à Genève en Suisse

[D11]Hayé Adam Rabbi Avraham DANZTIG Allemagne 19ème siècle

[D12]Kaf Ha’haïm Rabbi Yaakov ‘Haïm Sofer Irak Israël 20ème siècle

[D13]Berit Kehouna Rabbi Moshé ‘Halfoun Ha-Cohen Tunisie 20ème siècle. L’une des plus importantes autorité Hala’hic Sefarade de ce siècle. Egalement auteur du Shoel Venish’al.

[D14]

Sefer Ha’hassidim

Rabbi Yehouda He ‘Hassid Allemagne 12ème siècle

[D15]Sefer Ha-Berit Rabbi Pin’hass Eliyahou de VILNA Lituanie 19ème siècle

[D16]Lev ‘Haïm

Rabbi ‘Haïm FALLAG’I Turquie 19ème siècle. Auteurs de très nombreux ouvrages comme Roua’h ‘Haïm, Mo’ed Le’hol ‘Haï, Nishmat Kol ‘Haï, ou bien Kaf Ha’Haïm, entre autres…

Divré Shalom [D17]Rabbi Shalom MIZRA’HI z.ts.l Israël 20ème siècle. Il fut membre du Beit Din de notre maître le Rav Ovadia YOSSEF shalita

[D18]Birkat Hashem Rabbi Moshé LEVI z.ts.l Jeune et grand décisionnaire Sefarade de notre temps, malheureusement décédé prématurément il y a quelques années à l’âge de 39 ans. Il était l’élève du Gaon Rabbi Meïr MAZOUZ shalita Rosh Yeshiva de KIssé Ra’hamim à Bné Brak, et très proche de notre maître le Rav Ovadia YOSSEF shalita. Il a rédigé plusieurs ouvrages de Hala’ha dont Menou’hat Ahava en 3 volumes sur les Hala’hot Shabbat, ainsi que le Shou’t Tefila Lemoshé en 3 volumes, et Birkat Hashem sur les Hala’hot Bera’hot en 5 volumes.

[D19]Rav Its’hak YOSSEF shalita, auteur des célèbres YALKOUT YOSSEF et d’autres ouvrages de Hala’ha, directeur de la Yeshiva de ‘HAZON OVADIA à Jérusalem, et digne fils de notre maître le Rav Ovadia YOSSEF shalita

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