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mardi 19 août 2008

Comment tremper les ustensiles, et situations diverses

Comment tremper les ustensiles, et situations diverses

[A la fin de cette Hala’ha, vous trouverez une nuance très importante au sujet du principe de « Safek Bera’hot Lehakel » (« Lors d’un doute sur la récitation d’une Bera’ha, nous ne la récitons pas »)]

Cette Hala’ha est dédiée à la Refoua Shelema – la guérison complète de ma chère maman Simi Bat Leah, ainsi que pour la Refoua Shelema du Gaon et Tsaddik Rabbi Morde’haï Tsema’h Ben Mazal Tov (le Rav Morde’haï Eliyahou shalita)

Questions

De quelle manière doit-on tremper les ustensiles ?

De quelle façon doit-on agir lorsqu’un ustensile non trempé se mélange à des ustensiles trempés et que l’on ne peut les distinguer ?

Doit-on réciter la Bera’ha même lorsqu’on trempe des ustensiles fabriqués en dehors d’Israël ?

DécisionS de la Hala’ha

Si l’on procède à l’immersion d’ustensiles dans un Mikvé qui sert également à l’immersion de personnes (immersion des dames ou des hommes), s’il s’agit d’un Mikvé chauffé (comme la plupart des Mikvaot de notre temps), il est interdit de réciter la Bera’ha dans la pièce où se trouve le bassin du Mikvé. Il faut la réciter à l’extérieur de cette pièce et ensuite – s’en s’interrompre – commence l’immersion des ustensiles. (Il en est de même pour une dame qui s’immerge dans un Mikvé.)

Il faut veiller à ce que rien ne fasse séparation (‘Hatsitsa) entre l’ustensile et l’eau du Mikvé.

Par conséquent, il faut nettoyer correctement l’ustensile et enlever toute saleté ou trace de rouille avant de le tremper.

Est considérée comme ‘Hatsitsa (élément séparateur), toute chose qui s’interpose entre l’ustensile et l’eau du Mikvé.

C’est pourquoi, lors de l’immersion, il faut que l’ustensile soit tenu faiblement dans la main, car s’il est tenu de façon serrée dans la main, la main constitue une ‘Hatsitsa (élément séparateur) entre l’ustensile et l’eau du Mikvé.

Cependant, il est possible de se mouiller les mains avec l’eau du Mikvé, avant de tremper l’ustensile dans l’eau, et à ce moment là, il n’y a plus à craindre la ‘Hatsitsa (séparation) même si l’on attrape fortement l’ustensile.

Lorsqu’on trempe des ustensiles neufs, il est préférable de retirer toutes sortes d’étiquettes ou autres, pouvant constituer une ‘Hatsitsa (élément séparateur), en particulier les étiquettes dont la présence sur l’ustensile, nous dérange.

Même pour les ustensiles en cristal, il est bon de s’imposer la ‘Houmra (rigueur) de retirer les étiquettes sur lesquelles il est écrit « Cristal ».

Lorsqu’on trempe un canif (qu’on utilise pour manger) dont la lame est repliée à l’intérieur, on doit d’abord l’ouvrir avant de le tremper, afin que l’eau se propage sur toutes les parties du canif.

Des ustensiles qui ont été trempés selon les exigences de la Hala’ha, et dans lesquels s’est mélangé un autre ustensile qui lui, n’a pas encore été trempé, il faut tous les tremper de nouveau mais sans réciter la Bera’ha

Cependant, s’il s’agit d’ustensiles en verre, on peut autoriser – dans ce cas précis - à ne pas les retremper du tout.

Sources et développement

Il est interdit de prononcer une Bera’ha (ou toute mention du Nom d’Hashem) lorsqu’on se trouve dans une pièce où l’on prend des bains (ou des douches) chauds. Ceci, en raison de la sueur humaine qui se dégage, en conséquence au bain chaud.

C’est la raison pour laquelle, il est interdit de prononcer une Bera’ha dans une salle de bains.

La plupart de nos Mikvaot sont chauffés, et par conséquent, il est également interdit de prononcer la Bera’ha de l’l’immersion des ustensiles lorsqu’on se trouve dans un Mikvé qui sert également à l’immersion de personnes (des dames ou des hommes).

Il faut la réciter à l’extérieur de cette pièce et ensuite – s’en s’interrompre – commence l’immersion des ustensiles. (Il en est de même pour une dame qui s’immerge dans un Mikvé.)

Il faut veiller à ce que rien ne fasse séparation (‘Hatsitsa) entre l’ustensile et l’eau du Mikvé.

Par conséquent, s’il y a de la rouille sur l’ustensile, il faut le nettoyer correctement et enlever la rouille de l’ustensile.

En effet, les Hala’hot de ‘Hatsitsa (éléments séparateurs) dans l’immersion des ustensiles, sont les mêmes Hala’hot relatives à l’immersion de la femme Nidda.

C’est ce qu’affirment plusieurs Rishonim (décisionnaires de l’époque Médiévale) – comme l’auteur du Eshkol[D1] (tome 3 page 140) ; le Rosh[D2] (dans ses commentaires sur Pessa’him chap.7 au nom du Sifré) ; l’auteur du SaMaG[D3] (section des interdits N°148 au nom du Sifré et cité dans le Beit Yossef fin du chap.120).

Telle est également la décision Hala’hic de MARAN[D4] dans le Shoul’han ‘Arou’h (Y.D chap.120 parag.13)

Est considérée comme ‘Hatsitsa (élément séparateur), toute chose qui s’interpose entre l’ustensile et l’eau du Mikvé.

C’est pourquoi, lors de l’immersion, il faut que l’ustensile soit tenu faiblement dans la main, car s’il est tenu de façon serrée dans la main, la main constitue une ‘Hatsitsa (élément séparateur) entre l’ustensile et l’eau du Mikvé.

Cependant, il est possible de se mouiller les mains avec l’eau du Mikvé, avant de tremper l’ustensile dans l’eau, et à ce moment là, il n’y a plus à craindre la ‘Hatsitsa (séparation) même si on attrape fortement l’ustensile, car dans ces conditions, l’eau du Mikvé est en contact avec l’eau qui se trouve sur la main, de sorte que l’eau est liée avec toutes les parties de l’ustensile.

Lorsqu’on trempe des ustensiles neufs, il est préférable de retirer toutes sortes d’étiquettes ou autres, pouvant constituer une ‘Hatsitsa (élément séparateur).

Cependant, tout ce qui se trouve sur l’ustensile n’est pas forcément considéré comme ‘Hatsitsa vis-à-vis du trempage, mais uniquement les choses pour lesquelles on a une exigence particulière.

Il y a de nombreuses nuances sur ces Dinim, similairement aux Dinim de ‘Hatsitsa dans la Netilat Yadaïm ou dans les Hala’hot relatives à l’immersion de la femme Nidda. C’est pourquoi, il est bon de retirer systématiquement les étiquettes avant l’immersion, dans toutes situations.

Bien que ce point ne soit pas réellement tranché dans les Poskim, puisque – comme le fait remarquer le Gaon Rabbi Shelomo Zalman OYERBACH z.ts.l[D5] dans son livre Shou’t Min’hat Shelomo (tome 2 chap.66 note 19) - les étiquettes peuvent représenter « un élément minoritaire sur lequel nous n’avons pas d’exigence » (« Mi’outo Sheeno Makpid ‘Alav »), c'est-à-dire : l’étiquette est tellement insignifiante qu’elle ne dérangerait en rien le propriétaire de l’ustensile. De ce fait, l’étiquette n’est pas à considérer comme ‘Hatsitsa (élément séparateur)

Dans son livre Hali’hot ‘Olam (tome 7 Parasha de Matot note 14), notre maître le Rav Ovadia YOSSEF Shalita, cite les propos de l’auteur du Shou’t ’Haïm Ha-Levy (tome 1 chap.57 note 5) qui parle lui-même au nom du Gaon Rabbi Its’hak Ya’akov WEISS z.ts.l[D6] et selon qui :

« Un ustensile en Cristal qui porte une étiquette sur laquelle il est écrit « Cristal », ne représente pas une ‘Hatsitsa (élément séparateur) vis-à-vis de l’immersion, puisque cette étiquette donne de la valeur à l’ustensile, et que l’on n’a donc aucune exigence à la retirer. C’est ce qu’on rapporte également au nom du Gaon Rabbi Shemouel WOZNER Ha-Levy Shalita[D7] auteur du Shou’t Shevet Ha-Levy. Cependant, une autre autorité Hala’hic prône la ‘Houmra (la rigueur) sur ce point, et il est bon de se l’imposer. » Fin de citation du Shou’t ’Haïm Ha-Levy cité par notre maître le Rav Shalita.

L’auteur du ‘Arou’h Ha-Shoul’han[D8] (sur Y.D chap.120 parag.8) précise qu’un canif (qu’on utilise pour manger) dont la lame est repliée à l’intérieur, doit être ouvert lors de l’immersion, afin que l’eau se propage sur toutes les parties du canif.

Des ustensiles qui ont été trempés selon les exigences de la Hala’ha, et dans lesquels s’est mélangé un autre ustensile qui lui, n’a pas encore été trempé, par exemple, lorsqu’on a acheté un set de couverts neufs, que l’on a été tremper au Mikvé, et qu’ensuite, il s’avère que l’un des ustensiles n’a pas été trempé, et qu’il se trouve à présent mélangé parmi les autres ustensiles.

Certains disent que dans ce cas il n’y a pas d’obligation de tremper de nouveau l’intégralité des ustensiles, mais certains disent que tous les ustensiles doivent être de nouveau trempés.

Selon l’opinion de notre maître le Rav Ovadia YOSSEF Shalita, il faut les tremper de nouveau mais sans réciter la Bera’ha, car d’une part l’obligation de tremper les ustensiles est une ordonnance de la Torah, et lorsqu’il y a un doute sur une ordonnance de la Torah, nous allons à la ‘Houmra (rigueur), mais d’autre part, nous ne récitons pas de nouveau la Bera’ha, car une rigueur sur ce point, entraînerai la souplesse de réciter le Nom d’Hashem en vain. Or, nous avons le principe de SAFEK BERAH’OT LEHAKEL (lors d’un doute sur la récitation d’une Bera’ha, nous ne la récitons pas). C’est pourquoi, il ne faut pas réciter de nouveau la Bera’ha lorsqu’on retrempe les ustensiles.

Cependant, s’il s’agit d’ustensiles en verre, dans un tel cas, on peut autoriser à ne pas les retremper du tout, puisque l’obligation de tremper les ustensiles en verre n’est pas une ordonnance de la Torah mais seulement de nos ‘Ha’hamim, et lorsqu’il y a un doute sur une loi des ‘Ha’hamim, nous allons à la souplesse.

Bien qu’il y a aussi en dehors d’Israël, de nombreux juifs qui possèdent des usines d’ustensiles, malgré tout, nous avons un principe (voir les Guemarot Bera’hot 28a ; Kiddoushin 73a ; ‘Houlin 95a) selon lequel « Tout élément qui se détache, provient d’une majorité » (« Kol Deparish, MeRouba Parish »), c'est-à-dire : il faut se baser sur la majorité des usines afin de déterminer si les ustensiles sont soumis à l’obligation d’être trempés ou non. Or, puisqu’il est de notoriété que la majorité des usines d’ustensiles en dehors d’Israël, appartiennent à des non juifs, tout ustensile fabriqué en dehors d’Israël nécessite une immersion selon le Din.

Il faut même réciter la Bera’ha sur cette immersion.

En effet, il est vrai que nous appliquons généralement le principe de « Safek Bera’hot Lehakel » (« lors d’un doute sur la récitation d’une Bera’ha, nous ne la récitons pas »), et sur ce point, nous ne suivons pas la majorité, car même lorsqu’une majorité de Poskim pense qu’il faut réciter une Bera’ha précise, et qu’une minorité conteste et pense qu’il ne faut pas la réciter, nous suivons la minorité, comme en attestent de nombreux A’haronim (le Gaon Rabbi Moshé AMARILIO[D9] dans son livre Shou’t Devar Moshé tome 1 chap.35 ; le Gaon Rabbi Avraham AL KLA’ÏI[D10] dans son livre Shou’t ’Hessed Le-Avraham section O.H chap.18 ; le Gaon Rishon Le-Tsion Rabbi Ya’akov Shaoul ELYASHAR[D11] dans son livre Ma’assé Ish section Y.D chap.15), et cela, en raison de la gravité de l’interdiction de réciter une Bera’ha en vain, qui représente – selon le RaMBaM[D12] - la transgression de l’interdit « Tu ne prononceras pas le Nom d’Hashem ton D. en vain ».

Selon cela, comment ce fait-il que nous devons réciter la Bera’ha lorsqu’on trempe des ustensiles fabriqués en dehors d’Israël ?

Il reste quand même le doute que cet ustensile a été fabriqué dans l’usine d’un juif, et dans ce cas, l’ustensile est en vérité exempt d’immersion, et nous récitons peut être une Bera’ha en vain ?!

Nuance très importante au sujet du principe de

« Safek Bera’hot Lehakel »

(« Lors d’un doute sur la récitation d’une Bera’ha, nous ne la récitons pas »)

Cependant, notre maître La Rav Ovadia YOSSEF Shalita explique une notion très importante au sujet du principe de « Safek Bera’hot Lehakel » (« lors d’un doute sur la récitation d’une Bera’ha, nous ne la récitons pas »).

En effet, il y a une différence entre un doute qui résulte d’une Ma’hloket (une divergence d’opinion Hala’hic) entre les Poskim, et un doute qui résulte d’une réalité (Safek BaMetsiout).

La Torah nous ordonne de suivre la majorité lorsque des Poskim discutent « face à face » (des Poskim vivant à la même époque) d’un sujet précis, et lorsque chacun des 2 partis opposés a pris connaissance de l’opinion et des arguments de l’autre, et malgré tout, chacun est resté sur son avis. Dans ce cas, nous devons suivre l’opinion de la majorité.

Si par contre la discussion se déroule entre Poskim dont les uns n’ont pas eu connaissance de l’opinion et des arguments des autres (ils n’ont pas vécus à la même époque), si la discussion porte sur la récitation d’une Bera’ha, nous ne suivons pas l’opinion de la majorité et nous appliquons le principe de « Safek Bera’hot Lehakel » (« lors d’un doute sur la récitation d’une Bera’ha, nous ne la récitons pas ») car il y a lieu d’estimer que si la majorité – qui est d’avis de réciter la Bera’ha - avait eu connaissance des arguments de la minorité – selon qui il ne faut pas la réciter - elle se serait sûrement rangé à son avis, et aurait tranché qu’il ne faut pas réciter la Bera’ha.

Mais lorsque le doute résulte d’une réalité – comme c’est le cas dans notre sujet puisque l’ustensile fabriqué en dehors d’Israël peut provenir de l’usine d’un juif comme il peut provenir de l’usine d’un non juifil faut se baser totalement sur la notion de majorité.

Or, la majorité des usines d’ustensiles en dehors d’Israël, appartiennent à des non juifs. Donc tout ustensile fabriqué en dehors d’Israël, nécessite une immersion avec Bera’ha, selon le Din, conformément au principe

« Tout élément qui se détache, provient d’une majorité » (« Kol Deparish, MeRouba Parish »).

Cette nuance entre un doute qui résulte d’une Ma’hloket et un doute qui résulte d’une réalité (Safek BaMetsiout), est relevée par de nombreux Poskim, et parmi eux :

MaHaRaM de ROTTENBOURG[D13] (Tshouvot Maïmoni section Nashim fin du chap.11) ; MaHaRaM MINTS[D14] (Tshouvot chap.15).

Nous pouvons relever cette nuance également à travers les propos du RaMBaM (Hala’hot Meguila chap.1 Hala’ha 11) :

« Une ville sur laquelle nous avons un doute si elle a été entourée de muraille à l’époque de Yehoshoua’ Bin Noun ou non, ses habitants devront lire la Meguila le 14 Adar avec Bera’ha puisque cette date est commune à la majorité des villes, et ils la reliront également le 15 Adar sans réciter la Bera’ha. »

MARAN[D15] tranche lui aussi cette Hala’ha dans la Shoul’han ‘Arou’h (O.H chap.688).

Il en ressort donc que lorsque le doute résulte d’une réalité (entourée de muraille à l’époque de Yehoshoua Bin Noun ou pas), nous nous basons totalement sur la majorité, même s’il s’agit de réciter une Bera’ha, sans tenir compte de la notion de minorité.

C’est avec ces propos du RaMBaM que le Gaon Rabbi Eli’ezer DI TOLEDO – dans son livre Mishnat Rabbi Eli’ezer (section Same’h note 1) - prouve lui aussi que lorsque le doute se situe au niveau d’une réalité, il faut se baser totalement sur la notion de majorité.

L’auteur du Shou’t Shoel Venish’al[D16] (tome 2 chap.74) tranche lui aussi qu’il faut réciter la Bera’ha même lorsqu’on trempe des ustensiles fabriqués en dehors d’Israël.

Rédigé et adapté par R. David A. PITOUN France 5768 sheelot@free.fr

(à partir des écrits du Gaon Rabbi Ya’akov SASSON shalita)

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[D1]ESHKOL

Rabbi Avraham Ben Its’hak France 12ème siècle

[D2]Rosh

Rabbenou Asher Allemagne-Espagne 13ème siècle

[D3]SaMaG

Sefer Mitsvot Gadol

Rabbi Moshé MI KOUTSI France 13ème siècle

[D4]Maran ou « Notre maître » en araméen. Rabbi Yossef Karo, 16ème siècle, Espagne – Israël, l’auteur du Beit Yossef et du Shoul’han Arou’h

[D5]

Rabbi Shelomo Zalman OYERBACH [D5] un des plus grands décisionnaires de notre temps Jérusalem 1910 – 1995

[D6]Rabbi Its’hak Ya’akov WEISS Grand Rabbin Ashkenazi de Jérusalem, et l’un des plus importants décisionnaires de notre temps. Auteur du Shou’t Min’hat Its’haK. Il est décédé, il y a quelques années.

[D7]

Rabbi Shemouel HaLevi WOZNER Rav de Zi’hron Meïr (Israël) et auteur du Shevet Halevi. Il est l’un des plus important Poskim de notre temps.

[D8]

Arou’h Hashoul’han Rabbi Ye’hiel Mi’hal EPSTEIN Russie 19ème siècle

[D9]

Rabbi Moshé AMARILIO Salonique 18ème siècle. Auteur du Shou’t Devar Moshé et de Hala’ha LeMoshé.

[D10]

Rabbi Avraham AL KLA’ÏI Turquie Israël 19ème siècle

[D11]

Rabbi Ya’akov Shaoul ELYASHAR Israël 19ème et début du 20ème siècle. Il fut Rishon Le-Tsion (Grand Rabbin Sefarade des juifs d’Israël.)

[D12]RaMBaM ou Maïmonide Rabbi Moshé Ben Maïmon Espagne – Egypte 12ème siècle

[D13]MaHARaM de Rottenbourg Morénou Harav Rabbenou Meïr de Rottenbourg Allemagne 13ème siècle

[D14]MaHaRaM MINTS Morenou Harav Rabbi Moshé MINTS Italie 19ème siècle

[D15]Maran ou « Notre maître » en araméen. Rabbi Yossef Karo, 16ème siècle, Espagne – Israël, l’auteur du Beit Yossef et du Shoul’han Arou’h

[D16]Shoel Venish’al Rabbi Moshé ‘Halfoun Ha-Cohen Tunisie 20ème siècle. L’une des plus importantes autorités Hala’hic Sefarade de ce siècle.

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